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1.
Can J Public Health ; 2022 Sep 06.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-2313146

ABSTRACT

OBJECTIVE: The objective of this study is to provide a direct short-term cost-avoidance analysis of expanded three-time prenatal syphilis screening in the context of Manitoba's ongoing outbreak. METHODS: A conservative modelling approach increased all financial costs of prenatal screening and minimized the direct costs of congenital syphilis treatment. The cost of syphilis screening was calculated using instrument, reagent and consumable costs as well as laboratory overhead and labour costs as documented by Cadham Provincial Laboratory. The short-term direct costs of treating congenital syphilis were calculated using hospital costs and doctor's billing fees. All costs were calculated in 2021 Canadian dollars. These numbers were applied to Manitoba's 2021 congenital syphilis statistics to provide a pragmatic cost-avoidance analysis. RESULTS: The cost of applying three-time prenatal syphilis screening to all 16,800 yearly pregnancies in Manitoba equalled CAD $139,608.00 per year. The direct short-term cost of treating one uncomplicated case of congenital syphilis was $18,151.40. As 81 cases of congenital syphilis were treated in Manitoba in 2021, the short-term direct cost of treating congenital syphilis in Manitoba in 2021 was $1,470,263.40. Applying screening costs to the 125 adequately prevented cases of congenital syphilis in 2021, the screening program is associated with a cost-avoidance ratio of 16.25. If no prenatal syphilis program existed in Manitoba, an expanded screening program would be associated with a cost-avoidance ratio of 26.8. CONCLUSION: Expanding prenatal syphilis screening is highly cost-avoidant in Manitoba. The 81 cases of congenital syphilis treated in Manitoba in 2021 highlight the need for novel community-based approaches to increase accessibility and engagement with prenatal care.


RéSUMé: OBJECTIF: Dans le contexte de l'éclosion de syphilis qui sévit actuellement au Manitoba, notre étude vise à présenter une analyse des coûts directs à court terme qui pourraient être évités en étendant le dépistage de la syphilis au cours des trois trimestres de la grossesse. MéTHODE: En adoptant une approche de modélisation prudente, nous avons accru tous les coûts financiers du dépistage anténatal et réduit les coûts de traitement directs de la syphilis congénitale. Les coûts de dépistage de la syphilis ont été calculés en utilisant les coûts des instruments, des réactifs et des consommables, ainsi que les frais généraux et les coûts de main-d'œuvre des laboratoires selon le Laboratoire provincial Cadham. Les coûts directs à court terme du traitement de la syphilis congénitale ont été calculés en utilisant les frais hospitaliers et les frais facturés par les médecins. Tous les coûts ont été calculés en dollars canadiens de 2021. Ces chiffres ont été appliqués aux statistiques de 2021 du Manitoba sur la syphilis congénitale pour produire une analyse pragmatique de prévention des coûts. RéSULTATS: Le coût d'étendre le dépistage de la syphilis au cours des trois trimestres de la grossesse aux 16 800 grossesses annuelles au Manitoba représentait 139 608 $ CAN par année. Le coût direct à court terme du traitement d'un cas de syphilis congénitale sans complications était de 18 151,40 $. Étant donné que 81 cas de syphilis congénitale ont été traités au Manitoba en 2021, le coût direct à court terme du traitement de syphilis congénitale dans la province en 2021 s'est élevé à 1 470 263,40 $. En appliquant les coûts de dépistage aux 125 cas de syphilis congénitale que l'on a réussi à prévenir en 2021, le programme de dépistage est associé à un rapport de prévention des coûts de 16,25. S'il n'existait aucun programme de dépistage anténatal de la syphilis au Manitoba, un programme de dépistage élargi serait associé à un rapport de prévention des coûts de 26,8. CONCLUSION: L'expansion du dépistage anténatal de la syphilis serait une mesure de prévention des coûts très efficace au Manitoba. Les 81 cas de syphilis congénitale traités dans la province en 2021 montrent qu'il faut adopter de nouvelles approches de proximité pour améliorer l'accès et la participation aux soins anténatals.

2.
Can Commun Dis Rep ; 47(11): 461-465, 2021 Nov 10.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-1606032

ABSTRACT

This article provides a summary of the epidemiology of multisystem inflammatory syndrome in children (MIS-C) cases reported nationally in Canada by provincial and territorial health authorities. Multisystem inflammatory syndrome in children is a post-viral inflammatory syndrome that temporally follows coronavirus disease 2019 (COVID-19). Symptoms may include fever, abdominal pain, vomiting, diarrhea, skin rash and other signs of inflammation. In Canada, MIS-C is rare, with 269 cases reported to the Public Health Agency of Canada between March 11, 2020 and October 2, 2021. One hundred forty-two (53%) of these cases were lab-confirmed COVID-19 cases or epidemiologically-linked with COVID-19 cases. Cases have been reported in infants as young as one week to youth as old as 18 years, with a median age of six years. Cases were more likely to occur in males than females (58% vs 42%, respectively; p=0.006). Almost all MIS-C cases (99%) required hospitalization and 36% required intensive care unit admission. No deaths have been reported to date. The time trend of MIS-C aligns with the incidence rate time trend of COVID-19 reported in children, with a two to six-week lag.

3.
CMAJ ; 193(23): E870-E877, 2021 06 07.
Article in French | MEDLINE | ID: covidwho-1260521

ABSTRACT

CONTEXTE: Le rôle des enfants dans la propagation et la transmission communautaire du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 (SRAS-CoV-2) est encore mal compris. Nous visons à quantifier l'infectivité du SRAS-CoV-2 d'échantillons nasopharyngés provenant d'enfants comparativement à ceux provenant d'adultes. MÉTHODES: Nous avons obtenu des écouvillons nasopharyngés de cas adultes et pédiatriques de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) ainsi que de leurs contacts qui ont obtenu un résultat positif à la présence du SRAS-CoV-2 lors d'un test de dépistage au Manitoba entre les mois de mars et décembre 2020. Nous avons comparé la croissance virale en culture cellulaire, les valeurs de cycle seuil de test d'amplification en chaîne par polymérase couplé à une transcription inverse (RT-PCR) de l'enveloppe (E) du gène du SRAS-CoV-2 et de la dose infectieuse pour 50 % de la culture tissulaire (DICT50/mL) entre les adultes et les enfants. RÉSULTATS: Parmi les 305 échantillons positifs à la présence du SRAS-CoV-2 validés par RT-PCR, 97 échantillons provenaient d'enfants de 10 ans et moins, 78 échantillons d'enfants de 11­17 ans et 130 échantillons d'adultes (≥ 18 ans). On a observé une croissance virale en culture dans 31 % des échantillons, dont 18 (19 %) échantillons d'enfants de 10 ans et moins, 18 (23 %) d'enfants de 11­17 ans et 57 (44 %) d'adultes (enfants c. adultes, rapport de cotes 0,45; intervalle de confiance [IC] à 95 % 0,28­0,72). Le cycle seuil était de 25,1 (IC à 95 % 17,7­31,3) chez les enfants de 10 ans et moins, 22,2 (IC à 95 % 18,3­29,0) chez les enfants de 11­17 ans et 18,7 (IC à 95 % 17,9­30,4) chez les adultes (p < 0,001). La DICT50/mL médiane était considérablement plus faible chez les enfants de 11­17 ans (316, écart interquartile [EI] 178­2125) que chez les adultes (5620, EI 1171­17 800, p < 0,001). Le cycle seuil était un indicateur exact d'une culture positive chez les enfants et les adultes (aire sous la courbe de la fonction d'efficacité du récepteur, 0,87, IC à 95 % 0,81­0,93 c. 0,89, IC à 95 % 0,83­0,96, p = 0,6). INTERPRÉTATION: Comparés aux adultes, les enfants qui ont obtenu un résultat positif à un test de dépistage du SRAS-CoV-2 à l'aide d'un écouvillon nasopharyngé étaient moins susceptibles de présenter une croissance du virus en culture et obtenaient un cycle seuil plus élevé et une concentration virale moins élevée, indiquant que les enfants ne sont pas les principaux vecteurs de la transmission du SRAS-CoV-2.

4.
Canadian Medical Association. Journal ; 193(17):E601-E606, 2021.
Article in English | ProQuest Central | ID: covidwho-1206651

ABSTRACT

BACKGROUND: The role of children in the transmission and community spread of severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2) is unclear. We aimed to quantify the infectivity of SARSCoV- 2 in nasopharyngeal samples from children compared with adults. METHODS: We obtained nasopharyngeal swabs from adult and pediatric cases of coronavirus disease 2019 (COVID-19) and from their contacts who tested positive for SARS-CoV-2 in Manitoba between March and December 2020. We compared viral growth in cell culture, cycle threshold values from the reverse transcription polymerase chain reaction (RT-PCR) of the SARS-CoV-2 envelope (E) gene and the 50% tissue culture infective dose (TCID50/mL) between adults and children. RESULTS: Among 305 samples positive for SARS-CoV-2 by RT-PCR, 97 samples were from children aged 10 years or younger, 78 were from children aged 11-17 years and 130 were from adults (≥ 18 yr). Viral growth in culture was present in 31% of samples, including 18 (19%) samples from children 10 years or younger, 18 (23%) from children aged 11-17 years and 57 (44%) from adults (children v. adults, odds ratio 0.45, 95% confidence interval [CI] 0.28-0.72). The cycle threshold was 25.1 (95% CI 17.7- 31.3) in children 10 years or younger, 22.2 (95% CI 18.3-29.0) in children aged 11-17 years and 18.7 (95% CI 17.9-30.4) in adults (p < 0.001). The median TCID50/mL was significantly lower in children aged 11-17 years (316, interquartile range [IQR] 178-2125) than adults (5620, IQR 1171 to 17 800, p < 0.001). Cycle threshold was an accurate predictor of positive culture in both children and adults (area under the receiver-operator curve, 0.87, 95% CI 0.81-0.93 v. 0.89, 95% CI 0.83-0.96, p = 0.6). INTERPRETATION: Compared with adults, children with nasopharyngeal swabs that tested positive for SARSCoV- 2 were less likely to grow virus in culture, and had higher cycle thresholds and lower viral concentrations, suggesting that children are not the main drivers of SARS-CoV-2 transmission.

5.
Med Educ Online ; 25(1): 1770562, 2020 Dec.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-343396

ABSTRACT

The coronavirus disease (COVID-19) pandemic is causing wide-spread interruptions in medical education. With little warning, clinical rotations were cancelled and medical students were sent home. While pre-clinical students transitioned to online curricula, clinical students were left without discreet educational goals. Simultaneously, medical doctors were scrambling to maintain competence in the face of rapidly evolving COVID-19 information. Here, we describe an education program that integrates medical students into interdisciplinary teams to review emerging COVID-19 research that directly answers questions sent in by medical doctors.


Subject(s)
Education, Medical/organization & administration , Education, Medical/trends , Pandemics/statistics & numerical data , Students, Medical/statistics & numerical data , Betacoronavirus , COVID-19 , Coronavirus Infections , Curriculum/trends , Humans , Pneumonia, Viral , SARS-CoV-2
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